Les omnidirectionnelles
Ce type d’antenne rayonne dans toute les directions à la fois. Ce sont les modèles les plus chers car les plus complexes à réaliser. On doit les employer lorsque les stations peuvent être n’importe où par rapport à l’AP. En revanche, la distance maximale depuis l’AP reste limité en comparaison des autres antennes
Les directionnelles
Ces antennes ont un fort gain, c’est-à-dire qu’elles peuvent capter un signal à plus grande distance qu’une antenne omnidirectionnelle, mais dans une zone très restreinte. En général, plus le gain est fort, plus la zone couverte est rétrécie mais on peut capter le même signal depuis un point encore plus éloigné.
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type parabolique
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type yagi
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Typiquement, les antennes directionnelles sont employées pour créer des liaisons point à point, où seulement deux appareils Wi-Fi sont associés l’un à l’autre. Ce type de lien est nécessaire pour parcourir de longues distances (environ >500 m).
Pour évaluer les performances d’une antenne, on se base sur des abaques qui indique le gain en fonction de la direction.
Voici un exemple d’abaque (plans horizontal et vertical) :
Le terme dBi correspond au gain nécessaire à appliquer à l’antenne pour retrouver les caractéristiques d’une antenne isotrope parfaite - et théorique !- d’où l’appellation de gain isotrope équivalent.
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